Le voleur d’âmes..

Le capitalisme, expliqué aux enfants …( Attention scènes violentes, conseillé au plus de 13ans )

Cher commencement,
Je tenais à te dire qu’aujourd’hui rien ne vas plus,

L’oiseau est en flamme, le vent souffle ,

et rage le cœur de l’homme, s’émiette par trop d’injustice.

Il me semble de plus en plus, que la révolte est proche,

Parce l’espoir n’est plus,

on ne construit pas un monde sans espoir, n’est-ce pas ?

Comme on ne peut le construire avec la haine !

La haine est malheureusement ce qu’il nous reste,

Exacerbé par un monde insensible,

Indifférent aux souffrances humaines,

Un monde de privilège égoïste, où mise en abîme la loi du plus fort,

Et quel plus fort, aujourd’hui, que celui qui tire le fil,
Déambulant nos membres et mouvoir notre existence.
Comme un pantin de placard,

Je ne suis pas un humain, mais un produit,

Source de profit pour une meilleure injustice

du droit de vie et de mort de chacun,

selon l’économie, c’est ainsi  !

Dans l’histoire humaine, cela n’a jamais eu d’équivalent,

Même les bougies n’éclairent plus…

Chaplin, avec son dictateur,
aurait bien du mal à y mettre un visage
En ce temps moderne,

Car l’ange de la mort n’en a pas vraiment

Il est l’excellence, là-haut, intouchable,

Il conditionne l’orgueil, la luxure,

La gourmandise, l’avarice, ou l’envie

d’être le plus grand,

D’être le plus fort, d’être dieu…

Dieu tout puissant, ange de la mort, contrôle ses sujets.

Ainsi nous prive t-il de notre liberté,

De notre bonheur, ou simplement de l’espérance.

La foi d’exister, qu’est ce donc cet absurdité ?

Ici n’existe que la foi de consommer,

Soumettre au rêve des hommes, mensonge et illusion,

Pour mieux les contrôler

Ce qu’il faut savoir, nous les faibles, les pantins,

C’est qu’importe notre fin, le sang coulera toujours sur les mains des plus fort,

Ils seront condamnés, et damné à vivre dans ce sang,

Conséquences de leurs trahisons,

Et s’aggrave au fait de leur lâcheté abjecte…

Les phoques suffoquent, sincère est la rage,

Profond, le dégoût.

Oui, aujourd’hui tout est différent,

Il n’y a plus de lendemain, et l’âme se meurt,

Consomme et tais-toi ! Quel avenir pour nous… ?

Au commencement il y avait l’espoir, tu t’en souviens…

Laisser un commentaire